Le Mindmapping utilisé dans un cabinet d’ingénierie nucléaire (Orléans)

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Retranscription de la vidéo :

Je m’appelle Cyrille MOLINA, je dirige la société OAKRIDGE, qui est installé à Orléans mais qui a vocation à travailler en France partout et puis ailleurs dans le monde également. Une société d’ingénierie de conseil, spécialisée dans le secteur nucléaire. Voilà, qu’est ce que je peux te dire… Oui, on va fêter nos 10 ans en 2012, j’ai monté la société en 2002 et puis ça a grandit petit à petit.

Cyrille Venturini : Une entreprise orléanaise de 40 personnes travaille par de là le monde ?

Cyrille Molina : Voilà

Cyrille Venturini : On va parler un peu de ton expérience du Mind Mapping si tu veux bien ?

Cyrille Molina : Oui

Cyrille Venturini : Comment tu définirais le Mind Mapping ? Si tu avais une définition à donner, si tu avais à l’expliquer à quelqu’un, qu’est ce que tu en dirais ?

Cyrille Molina : C’est un peu une maladie, une fois qu’on l’a attrapée. Alors je ne sais pas si ça fonctionne pour tous les cerveaux. Dans mon cas, ça fonctionne, c’est le seul témoignage que je peux faire.

Ça permet d’avoir une présentation visuelle et synthétique de différents processus, de différents temps d’actions, de différents projets… Enfin, ça peut servir dans le domaine RH, dans le domaine commercial, dans le domaine formation, dans tous les domaines… dans le domaine qualité.
Ça permet de gagner du temps pour comprendre et communiquer vers les autres.
C’est un outil visuel, direct et simple en fait.

Cyrille VENTURINI : Donc opérationnel au sein d’une entreprise ?

Cyrille MOLINA : Complètement

Cyrille Venturini: Ces approches un peu bulle, image et tout, ce n’est pas un peu décalé dans le monde de l’entreprise ?

Cyrille Molina : Non au contraire… C’est beaucoup plus percutant, beaucoup plus accessible immédiatement. Parce que quand tu rédiges une note qui fait 5 pages, on va dire, tu l’envois à tous les collaborateurs. Même s’ils t’adore, tu ne peux pas dire qu’ils vont retenir tout à fait les 5 pages et pas de manière immédiate et ça n’incite pas les gens à se plonger dans le document. La map, en faite, quand elle arrive, vu qu’elle est accessible directement, ça permet de s’y intéresser, de s’intéresser à chaque bulle et se dire « Ah oui finalement, ce n’est pas si compliqué que ça… ». Voilà c’est accessible en fait, accessible, simple, direct, opérationnel.

Cyrille Venturini : Ça fait grosso-modo, on va dire, 35 jours que tu utilises MindManager de Mindjet, tu as produis combien de maps ?

Cyrille Molina :Ouh la !!! C’est pour ça que je disais que c’était une maladie tout à l’heure car une fois qu’on est dedans, après ça y va. Je dirais que j’en ai produis une vingtaine et puis j’en ai plein en chantier, mais là, je vais diffuser au sein de l’entreprise car je vais petit à petit inclure les collaborateurs pour qu’ils puissent produire leurs maps aussi.

Je pense que je vais refaire tout le système qualité aussi sous forme de map. Ce sera plus efficace que toutes les procédures écrites qu’on a et qui représente un volume important. L’idée c’est que le système qualité soit connu et appliqué au sein de l’entreprise et c’est facilement démontrable, à mon avis, on va en faire l’expérience mais c’est facilement démontrable, que sous forme de map, les différents processus, les procédures, tous les documents de la qualité sont plus accessibles, plus directement lisibles pour l’ensemble du personnel que ce gros pavé de documents écrits.